La promenade au milieu de l’être,
n’en fut pas une.
Tant de fois, elle fut misère,
que tu en gardes encore amertume.
Et du cap maintenu.
Malgré les rafales de vent, des maelström.
Tu n’as rompu.
Aujourd’hui, la délivrance t’embrasse.
Tu te dis que cela en valait la peine,
que même l’amertume n’est éternelle.
Je découvre ton blog par hasard et quelle tendresse s’en degage. Ces illustrations sont merveilleuses et ces textes riches en émotions, belle découverte, je m’en vais poursuivre les pages
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J’essaie de rendre la chose aussi délicieuse que possible. Et c’est avec grand bonheur que je continuerai. Un commentaire comme celui-ci ne peut que me conforter dans l’une des voies dans laquelle je me suis engagé. Merci.
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