Le geste, l’acte d’écrire s’apparente à un sismographe. Une manière de mesurer les forces de sa pensée, sa charpente psychique, de déployer les concepts que le mental couve. Se déployer soi par la pensée, pour mieux atterrir dans le réel. Une simple question de meilleur soi. C’est dans l’essence que le vision est la plus foudroyante. L’essence des choses, de soi. Tant d’abymes visités pour enfin devenir lumière.
Tant.
Le dévoilement de l’intuition, du pressentiment, demande un travail acharné.
Tant.